Grâce à l’initiative et à la volonté de l’ancien député Alf Hales, le Programme a jusqu’à présent permis plus de 530 jeunes Canadiens de vivre une expérience sans pareille. L’intéressante contribution que les anciens stagiaires ont apportée au Canada et à la communauté internationale dans le monde de l’enseignement, la fonction publique et l’industrie témoigne durablement du rôle important que joue le Programme pour aider de jeunes Canadiens prometteurs à donner toute leur mesure.

Melanie Bartosh – Hiawatha (Ontario)

Melanie Bartosh – Hiawatha (Ontario)

  • B.A. (relations gouvernementales et internationales), Université George Mason
  • J.D. (spécialisation en droit autochtone), Allard Law School, Université de la Colombie Britannique
  • Maîtrise en droit, Osgoode Hall de Université York

Melanie a la double nationalité canadienne et américaine. Elle a grandi au Texas, au Montana, à Guam, en Virginie, à Washington, D.C. et en Oklahoma. Elle est titulaire d’un baccalauréat de l’université George Mason, avec une spécialisation en gouvernement et relations internationales et une mineure en études amérindiennes et autochtones. Au cours de son premier cycle universitaire, elle a effectué un stage au Bureau des droits civils du Service agricole extérieur à Washington, D.C., où elle a créé le premier programme de sensibilisation aux Autochtones. Elle a déménagé à Vancouver pour poursuivre son doctorat en droit à l’Université de la Colombie-Britannique. Au cours de son dernier trimestre, elle a été acceptée dans le programme intensif des Autochtones d’Osgoode Hall. Le programme lui a donné l’occasion de faire un stage auprès de l’ancien sénateur Murray Sinclair. Durant ce stage, elle a mené des recherches sur la réconciliation. Dans le cadre de sa thèse de maîtrise en droit, elle a examiné l’intersection entre la réconciliation, la justice transitionnelle et la consolidation d’une paix d’ordre juridique avec les Anishinaabes. Elle est fière de faire partie de la Première nation de Hiawatha.

Benoit Dupras – Amos (Québec)

Benoit Dupras – Amos (Québec)

  • B.A. (relations internationales et économie), Université de la Colombie-Britannique

Benoit est né et a grandi dans la ville d’Amos, située dans la région de l’Abitibi-Témiscamingue, dans le Nord québécois. Il a récemment obtenu un baccalauréat ès arts avec haute distinction en relations internationales et en économie de l’Université de la Colombie-Britannique. Au cours de ses études, il a participé à un échange au King’s College de Londres et a suivi le programme coopératif artistique de l’Université de la Colombie-Britannique, où il a travaillé pour Policy Reporter, Relations Couronne-Autochtones et Affaires du Nord Canada, et Affaires mondiales Canada. Pendant ses temps libres, il a également rédigé des nouvelles pour le journal étudiant Ubyssey, travaillé pour l’Association canadienne pour l’étude de la sécurité et du renseignement en tant qu’analyste de recherche, et fait du bénévolat pour Spheres of Influence comme rédacteur. Avant d’entamer ses études universitaires, Benoit a reçu une bourse pour fréquenter le Collège du monde uni du Pacifique Lester B. Pearson sur l’île de Vancouver. Intéressé par la relation entre le droit international et la politique, il poursuivra des études de droit à l’Université McGill après avoir terminé le programme de stage parlementaire. Pendant ses temps libres, Benoit est un grand amateur de plein air, de danses latines et d’Ultimate

Philippe Fleury – Sherbrooke (Québec)

Philippe Fleury – Sherbrooke (Québec)

  • B.A. (relations internationales et droit international), Université du Québec à Montréal
  • Maîtrise en développement territorial durable, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Philippe est titulaire d’un baccalauréat en relations internationales et en droit international de l’Université du Québec à Montréal, ainsi que d’une maîtrise internationale conjointe en développement territorial durable de l’Università degli Studi di Padova (Italie), de la KU Leuven (Belgique) et de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (France).

Avant de travailler sur la Colline du Parlement, Philippe a travaillé dans le domaine des droits de la personne internationaux et de la justice environnementale au Guatemala (2019), dans les politiques publiques pour la transition écologique en France (2021), ainsi que dans la coopération internationale pour la conservation de la nature avec le Programme des Nations Unies pour le développement (2022). Il souhaite profiter de l’occasion inégalée offerte par le Programme de stage parlementaire pour approfondir sa compréhension des mécanismes sous-jacents de la démocratie et du rôle du parlementarisme dans la résolution des grands enjeux du XXIe siècle. Philippe est passionné par la protection de la nature et les affaires autochtones. Lorsqu’il ne travaille pas, il aime essayer de nouvelles choses et découvrir de nouvelles cultures en voyageant à un rythme lent.

Madeleine Martin – Gatineau (Québec)

Madeleine Martin – Gatineau (Québec)

  • B.Sc. soc. (études des conflits et droits humains), Université d’Ottawa
  • Maîtrise en études internationales, Université de Montréal

Avec un baccalauréat en Études des conflits et droits humains de l’Université d’Ottawa, et une Maîtrise en Études internationales de l’Université de Montréal, Madeleine est passionnée par les questions de justice sociale au Canada et à l’étranger. Ayant travaillé au Centre de surveillance et d’intervention d’urgence d’Affaires mondiales Canada, ainsi qu’au ministère des Relations Couronne-Autochtones et Affaires du Nord, elle a eu la chance de voir comment le Canada se positionne sur les questions qui touchent les droits humains et la justice sociale sur son propre territoire ainsi qu’à l’international.

Toujours de nature très curieuse, Madeleine adore voyager. Elle a d’ailleurs suivi un cours d’espagnol intensif à l’Université de Malaga en 2018, et a été sélectionnée pour un cours de recherche terrain à Mexico city en 2020, qui explorait les enjeux de marginalisation sociale des femmes et des enfants défavorisés dans cette ville. Depuis, elle a suivi de nombreux cours d’espagnol, motivée par l’ouverture culturelle incroyable que cet apprentissage lui a offerte.

Le PSP représente pour elle une opportunité exceptionnelle de mieux comprendre l’envers du décor, et les efforts qui sont mis de l’avant par le Canada afin d’élaborer des politiques publiques qui touchent aux enjeux sociaux.

Nathan Mendel – Halifax (Nouvelle-Écosse)

Nathan Mendel – Halifax (Nouvelle-Écosse)

  • B.A. (philosophie), Université McGill

Originaire de la Nouvelle-Écosse, Nathan est titulaire d’un baccalauréat ès arts (mention très honorable) en philosophie de l’Université McGill. Il a reçu le prix du groupe de recherche sur les études constitutionnelles en mai 2022 pour sa thèse de premier cycle intitulée « The Ethics of Remembering Through Tainted Statues ». Nathan s’intéresse depuis longtemps aux politiques sanitaires et sociales et a effectué un stage en 2018 dans une organisation de santé des femmes au Myanmar. Il a poursuivi ses études à l’université en tant que boursier de McGill en santé mondiale à Résultats Canada, où il a effectué des recherches sur les effets de la COVID-19 sur l’épidémie mondiale de tuberculose. Nathan a passé les six dernières années comme entraîneur de natation de compétition en Nouvelle-Écosse et au Québec, travaillant avec des nageurs de tous âges. En tant qu’entraîneur principal, il a dirigé des clubs d’été comptant entre 60 et 100 nageurs, entraînant les nageurs à réaliser des records provinciaux. En tant que stagiaire parlementaire, Nathan est impatient d’approfondir et d’élargir ses compétences en matière de politiques et de découvrir les rouages du Parlement.

 Nikhil Pandeya – Oakville (Ontario)

Nikhil Pandeya – Oakville (Ontario)

  • B.A. (science politique), Western University
  • M.A. (études politiques), Université Queen’s

Nikhil est titulaire d’un baccalauréat ès arts (avec distinction) en sciences politiques de l’Université Western, et a récemment obtenu une maîtrise ès arts en études politiques de l’Université Queen’s. Il s’intéresse de manière générale à la question de savoir si les institutions politiques canadiennes répondent efficacement à la société diversifiée qu’elles régissent. Ses cours portaient sur la politique de l’identité et de l’inégalité, le fédéralisme et la Constitution du Canada. En dehors de la salle de classe, Nikhil a été conseiller auprès de ses pairs au centre d’aide à la rédaction de l’Université Western et membre du comité sur les questions d’équité à l’Université Queen’s. En tant que directeur étudiant au Leadership and Democracy Lab de l’Université Western, il a supervisé des recherches collaboratives dans le cadre desquelles il a exploré l’incidence de la pandémie de COVID-19 sur les travaux du Parlement du Canada. Son projet de recherche le plus récent étudie les conditions dans lesquelles les acteurs politiques répondent aux demandes politiques avancées par les groupes minoritaires. Pendant son temps libre, Nikhil aime écouter de la nouvelle musique et passer du temps avec ses amis et sa famille.

Sarah Rollason-MacAulay – Winnipeg (Manitoba)

Sarah Rollason-MacAulay – Winnipeg (Manitoba)

  • B.A. (études mondiales japonaises et relations internationales), Université Meiji

Originaire de Winnipeg, au Manitoba, Sarah a obtenu un baccalauréat en études japonaises globales avec une spécialisation en relations internationales à l’Université Meiji de Tokyo. Pendant la pandémie, Sarah a joué des rôles de leadership au sein de Pivot 2020, un projet de recherche national, et en tant que première gestionnaire de camp pour l’organisme de bienfaisance pour l’autonomisation des jeunes One Voice One Team lors de son été inaugural au Manitoba. Elle s’est ensuite portée volontaire auprès de Katimavik, a travaillé pour L’arche Étoile à son centre de jour de Québec et a élaboré une politique de RH pour Ups and Downs, l’association de la trisomie de Calgary. Plus récemment, Sarah a obtenu des bourses de recherche auprès de HerStart, pour lequel elle était chargée de l’égalité des sexes et de l’entrepreneuriat en Tanzanie, et du Conseil canadien pour la prospérité des jeunes, alors qu’elle a rédigé un rapport de plaidoyer sur l’anxiété des jeunes dans l’effectif du Manitoba. Sarah, passionnée d’histoire, consacre ses temps libres à effectuer des recherches et à créer des costumes historiques. Elle est très enthousiaste à l’idée d’être aux premières loges pour voir la démocratie appliquée au Canada. Elle espère utiliser l’expérience et la compréhension acquises dans le cadre du Programme de stage parlementaire pour poursuivre ses études et sa carrière dans la fonction publique et les organisations non gouvernementales.

Alyth Roos – Ottawa (Ontario)

Alyth Roos – Ottawa (Ontario)

  • B.A. (science politique), Université Queen’s

Née en Colombie et élevée à Ottawa, Alyth a récemment obtenu un baccalauréat ès arts (avec distinction) en études politiques à l’Université Queen’s, à titre de lauréate de la bourse d’études du chancelier. Tout au long de ses études universitaires, Alyth a commencé à se passionner pour la défense des droits. En tant que membre actif du gouvernement étudiant, elle a été élue présidente de la Société des étudiants en arts et sciences de 2021-2022. Au cours de sa présidence, Alyth s’est attaquée au retour sur le campus après la COVID-19, à l’amélioration des objectifs d’équité, de diversité, d’inclusion et d’indigénisation (EDII), à la défense des intérêts universitaires ainsi qu’à la prévention et à la réaction à la violence sexuelle sur le campus. Ses recherches portaient sur les répercussions de la COVID-19 sur l’expérience universitaire et la santé des élèves sur le plan mental. Au-delà du plaidoyer, elle a également été membre active de la Queen’s International Affairs Association et a récemment reçu le Tricolour Award. Mettant en pratique sa passion pour les affaires mondiales, Alyth est une ancienne élève du programme des jeunes ambassadeurs et une ancienne stagiaire du secteur des affaires publiques de l’ambassade des États-Unis à Ottawa. Pendant ses temps libres, Alyth aime voyager, essayer de nouveaux cafés avec ses amis et sa famille ou sortir faire du jogging.

Nina Sartor – Mississauga (Ontario)

Nina Sartor – Mississauga (Ontario)

  • B.A. (histoire), Université McMaster
  • M.A. (histoire), Université McMaster

Nina est originaire de Mississauga, en Ontario, et a obtenu un baccalauréat ès arts (avec distinction) et une maîtrise spécialisée en histoire de l’Université McMaster. Elle se passionne pour la participation démocratique et l’inclusion civique, ayant travaillé comme chercheuse pour Participedia, un programme mondial d’externalisation pour les innovations participatives. Dans le cadre de sa recherche de maîtrise financée par le CRSH, Nina a étudié les origines intellectuelles de la Confédération canadienne. Elle mène également des recherches sur le système fédéral canadien et les mouvements de désarmement national au cours des années 1960. Pendant son séjour à l’Université McMaster, Nina a écrit pour le journal du campus et a participé à plusieurs simulations de conférences des Nations Unies. Elle a également travaillé en tant que chercheuse au département des sciences politiques, où elle s’est intéressée à la participation politique des femmes en Asie du Sud-est. Passionnée par l’application de la recherche aux projets communautaires, elle a corédigé un rapport de recommandations pour Grandmothers to Grandmothers, une organisation transnationale qui aide les communautés d’Afrique touchées par le VIH/sida. Nina est une patineuse artistique et entraîneuse passionnée qui a concouru tout au long de sa carrière universitaire pour l’équipe universitaire de patinage artistique de l’Université McMaster. Elle est ravie de pouvoir en apprendre davantage sur le Parlement du Canada grâce au Programme de stage parlementaire.

Sonja Tilroe – Edmonton (Alberta)

Sonja Tilroe – Edmonton (Alberta)

  • B. A. (anthropologie), Université Mount Royal

Née et élevée à Edmonton, en Alberta, Sonja est titulaire d’un baccalauréat ès arts de l’Université Mount Royal, avec une majeure en anthropologie et une mineure en sciences politiques. En 2022, elle a reçu le prix du meilleur étudiant diplômé en anthropologie de la Société canadienne d’anthropologie. Ses études interdisciplinaires ont engendré un intérêt pour les phénomènes politiques d’un point de vue anthropologique, en intégrant les idées du relativisme culturel et de l’observation participante à la base dans les études de la politique macroéconomique. Pendant ses études, Sonja a créé le MRU French Club français, qu’elle a présidé pendant deux ans et qui a permis de promouvoir un partenariat avec l’Alliance française de Calgary. Ayant travaillé à la fois pour Parcs Canada et Alberta Parks, elle a acquis une appréciation et une compréhension des terres protégées du Canada, et s’efforce de travailler pour leur intégrité à long terme. Pendant ses temps libres, Sonja fait de la randonnée, joue du violoncelle ou prépare de grandes fournées de biscuits.